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La greffe de l'utérus vs GPA. Un nouvel espoire pour les femmes MRKH

La greffe de l'utérus vs GPA. Un nouvel espoire pour les femmes MRKH

Heureusement les troubles d’ovulation peuvent être résolu grace aux stimulations ovarienne et méthodes de l’AMP. Mais un autre coté d’infertilité reste extrêmement difficile à conquérir. La stérilité féminine peut être lié aux troubles d’ovulation ou aux pathologies de l’utérus. Le dernier cas est le plus compliqué pour une femme qui souhaite d’avoir des enfants.

Les pathologies de l’utérus sont naturelles ou sont un résultat des traitements chirurgicales. Certaines femmes sont nées avec des malformations de l’utérus, utérus bicorne. Sans utérus, seulement avec le vagin – c’est le syndrome de Rokystanski. Un cas rare, mais qui fait souffrir les femmes. Puis il y a le cancer, myomes, endométriose… Tout ça rend impossible de porter le bébé.

La gestation pour autrui est la pratique procréative qui peut aider ces femmes. Au cours de la procedure une autre femme porte le bébé du couple. Génétiquement le bébé reste l’enfant du couple. Mais c’est la gestatrice qui mène la grossesse et accouche. Pourtant le recours à la GPA est interdit en France. En conséquence les couples sont obligés de partir à l’étranger. En Belgique, USA, Canada, Ukraine. Mais suite à des recours successifs les couples doivent passer par des longues procédures juridiques pour faire reconnaitre leur bébé.

Récemment la CHU de Limoges a déclaré que cette année sera réalisé une nouvelle procédure contre l’infertilité. La greffe de l’utérus. Cette pratique est destinée aux femmes atteintes du Rokystanski et à celles qui ont subi l’ablation de l’utérus. Telle pratique est étudié dans le monde entier. Déjà 12 patiente ont pu tomber enceinte et mener une grossesse.

Pourtant, il reste encore beaucoup de recherche à réaliser avant que la greffe de l’utérus devienne une pratique comme FIV. Au début des recherche la transplantation de l’utérus était réalisé entre mère et fille. Ou encore entre les sœurs. Quand meme l’opération met à risque la vie de la donneuse. La femme perd environ demi litre du sang au cours du prélèvement de l’utérus. L’intervention dure de 10 à 13h au totale. L’équipe Française en collaboration avec l’équipe Suédoise ont adapté une méthode de l’opération à l’aide du robot. Ce qui a permis de réduire la perte du sang chez la donneuse jusqu’à 300 ml.

Puis la recherche est allé plus loin en espérant de réduire les risques de l’opération. La science à prouvé que l’utérus prélevé après le décès est parfaitement capable de donner la vie. Jusqu’aujourd’hui seulement un cas de greffe d’utérus post mortem a eu le succès. C’était au Brésil au fin du 2017. D’après les données officiels, l’équipe Française travaille avec des patiente en état de mort cérébrale.

La procédure de la transplantation est très compliqué. Elle est divisé en deux étapes. Le prélèvement de l’utérus chez la donneuse. Ensuite l’utérus est transplanté chez la patiente receveuse. Les deux patientes sont dans l’opératoire dans le meme temps. Puisque la transplantation doit être effectuée instantement après avoir quitté le corps de la donneuse. Les médecins doivent lier l’organe transplanté aux vaisseaux utérins. Aucune analyse histologique n’est pas nécessaire pour choisir la donneuse. Mais il est crucial que la taille de l’endomètre soit suffisant pour mener une grossesse.

Après la greffe de l’utérus, la femme suit un traitement pour prévenir le rejet de l’organ transplanté. C’est un risque présent pour tous les type de transplantation. Elle prends les immunosupréssants qui diminuent la réponse immunologique à nouvel organe. L’opération est considérée positive si dans six mois apparait la menstruation. Il n’est pas rare que l’utérus transplanté a être retiré. Puisqu’il n’y avait pas de recherche histologique. Donc pas de soumission entre les tissus de la donneuse et receveuse. Et l’organe fut rejeté par le corps de la receveuse. Meme malgré les traitements nécessaires.

Une fois l’état stabilisé la receveuse peut avoir une grossesse uniquement en cadre de FIV. Avec les embryons congelés issues par FIV avec des ovocytes de la femme greffée ou d’une donneuse. Ensuite elle mené une grossesse normale. Et donne une naissance naturellement ou par césarienne.

Aujourd’hui un vingtaine d’équipes travaille sur le sujet de la greffe d’utérus. C’est encore difficile de dire quand ce type de traitement pourra devenir une pratique quotidienne de l’AMP. Et s’il sera vraiment accepté en France par l’agence de la biomédecine. Mais dans le future ce sera une alternative pour ceux qui n’ont pas obtenu le permis d’adopter un enfant. Ainsi qu’une alternative aux cliniques de GPA à l’étranger. Comme biotex, qui pour le moment accueille les couples en infertilité lié à des pathologies de l’utérus. Les pratiques cité ici peuvent apparaitre terrifiantes. Mais ces opération sont nécessaires aux femmes qui sont touchées par des pathologies rares. Par example le syndrome de Rokistansky touche une femme sur 4500. Et pour le moment ces femmes n’ont pas du support sociale qu’il leur faut. De plus, elles sont très critiquées pour un désir d’enfant. Et les procédures de l’AMP nécessaires sont bien risqués.